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Créé par sr07 le 20 juil 2016 | Dans : Amérique Latine
LE MONDE | 20.07.2016 à 19h40 • Mis à jour le 20.07.2016 à 20h57
En mai 2015, les Etats-Unis ont retiré Cuba de la liste noire des « Etats soutenant le terrorisme ». Washington et La Havane ont aussi trouvé un accord sur la liberté de mouvement et d’action des diplomates américains sur tout le territoire cubain, sans que ceux-ci aient à passer par une demande d’autorisation préalable pour chaque déplacement hors de la capitale.
Depuis fin 2014, les Etats-Unis et Cuba ont ouvert des négociations dans plusieurs domaines (droits de l’homme, télécommunications, lutte contre le trafic de drogue, protection de l’environnement…).
Les relations entre les deux pays restent toutefois difficiles. Le président américain Barack Obama s’est rendu en mars à La Havane pour « enterrer le dernier vestige de la guerre froide dans les Amériques » et y a notamment livré un plaidoyer pour la liberté d’expression et l’organisation d’élections démocratiques.
Mais cette visite a été commentée durement, a posteriori, par l’ancien président et « père » de la révolution cubaine, Fidel Castro, qui a rappelé les contentieux passés et présents entre les deux pays.
Un mois après le passage de M. Obama, les Etats-Unis ont même été désignés comme « l’ennemi », lors du congrès du Parti communiste de Cuba (PCC, au pouvoir).
Cuba s’est engagée depuis plusieurs années dans une « modernisation » de son économie. L’île est confrontée à des difficultés économiques et a observé une croissance moins élevée que prévue début 2016, notamment en raison des baisses de livraison de pétrole du Venezuela.
Le 13 juillet, le ministre de l’économie Marino Murillo a quitté ce poste pour prendre la tête d’une commission chargée de piloter des réformes en vue de la transition vers une économie de marché.
Car la libéralisation du pays avance lentement. Fin 2010, le régime avait autorisé les Cubains à exercer 201 métiers ou activités à leur propre compte, pour dégraisser l’Etat, dont les ressources ont fondu après la fin de l’Union soviétique. Cette réforme a permis de faire émerger un embryon d’économie marchande. Mais la méfiance du régime reste totale. Lors du congrès du Parti communiste de Cuba, le président Raul Castro a par exemple rejeté « les formules néolibérales de privatisation du patrimoine de l’Etat ».
Si, lors de sa visite à Cuba, M. Obama avait rencontré des autoentrepreneurs et promis le soutien des Etats-Unis, le gouvernement cubain entend toujours limiter l’extension du secteur « non étatique ». Le pays peine par ailleurs à attirer les investisseurs étrangers.
Le commerce entre les Etats-Unis et Cuba reste limité. Un certain nombre de restrictions commerciales contre l’île (dans les télécommunications, pour les envois d’argent, dans l’agriculture) ont bien été levées à l’initiative de la Maison Blanche.
Mais l’embargo américain, en place depuis 1962, n’est pas formellement levé : sa suppression ne peut être décidée que par le Congrès, où la majorité, républicaine, reste hostile au rapprochement avec La Havane.
Des entreprises comme Netflix et Airbnb ont toutefois pu étendre leurs activités sur l’île, en autorisant le paiement uniquement avec des cartes de crédit issues de banques étrangères.
La chaîne hôtelière Starwood a par ailleurs inauguré, fin juin, un hôtel à La Havane, marquant le retour d’une multinationale américaine dans la capitale cubaine pour la première fois depuis 1959.
Le nombre de touristes américains en visite à Cuba a explosé depuis l’apaisement des relations entre les deux pays. En 2015, selon le ministère cubain du tourisme, 161 233 Américains se sont rendus sur l’île, soit une hausse de 76 % par rapport à 2014. Au cours du premier trimestre 2016, ils étaient 71 800. Les Américains ne constituent cependant qu’une petite part des 3,5 millions de touristes qui ont visité Cuba en 2015.
Depuis que les deux pays ont entamé un rapprochement, fin 2014, les procédures de voyage pour les Américains qui souhaitent se rendre à Cuba ont été simplifiées. Les touristes doivent certes toujours remplir un document pour attester qu’ils appartiennent à une des douze catégories autorisées (médecin, famille, aide humanitaire, recherche, projet éducatif ou sportif…) et signer un formulaire du bureau américain pour le contrôle des avoirs étrangers (OFAC), mais ils ne doivent plus fournir de justificatifs pour leurs déplacements.
Le tourisme devrait continuer à progresser : les croisières ont repris en mai, et les vols réguliers entre les Etats-Unis et Cuba doivent être rétablis à l’automne.
Dans le cadre du dégel entre Washington et La Havane, Cuba avait promis la libération de prisonniers politiques. Cinquante-trois personnes sont sorties de prison début 2015. Mais le sujet reste sensible. Lors de la visite de Barack Obama en avril, le président Raul Castro s’était montré passablement énervé quand un journaliste avait soulevé la question. « Donnez-moi la liste immédiatement pour que je les libère […] Quels prisonniers politiques ? S’il y en a, ils seront libérés avant la tombée de la nuit ! » avait-il lancé.
Créé par sr07 le 15 mai 2016 | Dans : Amérique Latine, Vive le blog citoyen
Créé par sr07 le 14 mai 2016 | Dans : Amérique Latine
Laritza Berenguer Roblet, de solo 30 años y ocho de ellos como militante, es la secretaria de uno de los núcleos del hospital psiquiátrico Gustavo Machín de Santiago de Cuba
Autor: Arlin Alberty Loforte | arlin@internet.granma.cu
20 de abril de 2016 02:04:54
Ella viene de una tierra cargada de historia. Luvy Laritza Berenguer Roblet es de Santiago de Cuba, para ser más exacta de Songo la Maya, y forma parte de la delegación de ese territorio al 7mo. Congreso de Partido.
Con solo 30 años, ocho de ellos como militante, es la secretaria de uno de los núcleos del hospital psiquiátrico Gustavo Machín, además de formar parte del comité del Partido de ese centro.
Para esta joven este martes ha sido un día que nunca olvidará. “No han faltado las emociones, además ver a Fidel es una experiencia única”.
Para esta terapeuta ocupacional las palabras del Comandante en Jefe y su presencia fue una inyección de optimismo, de compromiso, además de un acto de profundo amor por su Partido.
“Los líderes históricos siempre estarán presentes para guiarnos, y a nosotros nos corresponde seguir consecuentemente su legado, y más en un contexto tan complejo como el que estamos viviendo, cuando muchos fuera del país apuestan porque la juventud no sea la continuidad”, enfatizó.
Luvy asegura que tener a Fidel tan cerca, con sus ideas tan lúcidas a sus casi 90 años, nos da la medida de que no podemos cansarnos, nos imprime dinamismo, fuerza, valentía para seguir haciendo lo que corresponde.
Al mismo tiempo no deja de dar sus impresiones sobre el discurso de Raúl. “Nos convida a seguir luchando, a cambiar las cosas que todavía nos quedan por cambiar con nuestros militantes, con nuestra comunidad, en el puesto de trabajo.
“Pienso que en este tiempo antes de volver al próximo Congreso es necesario resolver todo lo que falta, para que el país avance y el protagonismo del Partido se vea en todo lo que hay que hacer, en lo económico, en el trabajo con las masas, como guía de nuestra sociedad”, culminó.
Quizá por vivir en la “ciudad del Che”, médico y revolucionario hasta la médula; quizá porque esa es la esencia de todos los médicos cubanos, la doctora Martha Beatriz García Caraballosa, delegada de Villa Clara al 7mo. Congreso del Partido, habla con tanta vehemencia del valor de los galenos
Autor: Lissy Rodríguez Guerrero | internet@granma.cu
19 de abril de 2016 02:04:51
Quizá por vivir en la “ciudad del Che”, médico y revolucionario hasta la médula; quizá porque esa es la esencia de todos los médicos cubanos, la doctora Martha Beatriz García Caraballosa, delegada de Villa Clara al 7mo. Congreso del Partido, habla con tanta vehemencia del valor de los galenos de esta tierra, a quienes los caracteriza, dice, su condición humanista.
La Jefa de la Sala de Hematología en el Hospital Pediátrico José Luis Miranda, no pudo evitar referirse a los médicos de la “gloriosa brigada Henry Reeve”, que salieron a enfrentar los estragos del terremoto que sacudió a Ecuador el pasado sábado. Una vez más, precisa, hemos brindado nuestro apoyo.
Sobre la experiencia de participar en el 7mo. Congreso del Partido, a unas horas de culminar, Beatriz cataloga de históricas estas jornadas. Primero la discusión previa, luego la lectura del Informe y el trabajo en comisiones, y ahora la consulta popular a que serán sometidos los documentos, figuran entre los momentos medulares que resalta, cuando de resumir estos días se trata.
“Todos podemos ver la nación que queremos y aspiramos, la que queremos que nuestros hijos sigan, después nuestros nietos. Las consideraciones propuestas por los delegados, que es el sentir de nuestros núcleos del Partido, llevó un análisis profundo de todo lo que le preocupa a la militancia, de lo que está pasando en nuestros núcleos. Queremos un país soberano, independiente, socialista, democrático, próspero y sostenible, un país donde continuemos consolidando las conquistas de la Revolución”, añadió.
Al referirse al trabajo de su sector, comentó que “hoy el país está enfrascado en mejorar la calidad de los servicios, desde la formación de los médicos hasta la calidad que brindamos en los policlínicos, en los hospitales, y en ofrecer un mejor servicio en otros países del mundo”.
“Es un orgullo estar aquí representando mi sala, mi hospital, atendido por el programa materno infantil, con una sala de terapia intensiva de las mejores de este país. Me llevo de este Congreso grandes deseos de trabajar, de seguir adelante desde nuestros núcleos para seguir la obra de la Revolución, y como se aprobó, vamos a seguir desde la base trabajando y debatiendo, sobre todo con nuestra juventud”.
Créé par sr07 le 17 avr 2016 | Dans : Amérique Latine, Vive le blog citoyen
Julio Martínez Molina
Carmen Ibañez
Juvenal Balán
José M. Correa Armas
Pastor Batista Valdés
Karina Marrón González
Nuria Barbosa León
Diana Ferreiro
Pelayo Terry Cuervo
Mauricio Escuela
Jesús Jank Curbelo, estudiante de Periodismo
Alberto Borrego Ávila
Lisandra Fariñas Acosta
Claudia Fonseca Sosa
Créé par sr07 le 17 avr 2016 | Dans : Amérique Latine
Issues du processus réalisé durant les deux années précédentes, les ORI furent appelées, en mai 1963, Parti uni de la Révolution socialiste de Cuba (PURSC)
Il ne s’agissait pas d’un simple changement de nom, mais de l’établissement d’un système démocratique rigoureux pour entrer dans ses rangs, sur la base de la consultation des travailleurs à propos de ceux qui pourraient être considérés et choisis comme des travailleurs exemplaires, et la sélection par les organismes correspondants, parmi ces personnes, de ceux qui pourraient faire l’objet d’une analyse pour rejoindre ses rangs. Lire la suite »