Education

Articles archivés

Ségolène Royal écrit aux profs

Créé par le 21 mar 2007 | Dans : Battre campagne, Education, Pacte présidentiel, Ségolène Royal

 Dans Le Figaro http://www.lefigaro.fr/election-presidentielle-2007/

 La candidate socialiste a envoyé une lettre à tous les enseignants pour leur offrir des «garanties».

Fragilisés dans les sondages, les socialistes soignent leur noyau électoral. Ségolène Royal a envoyé une lettre à l’ensemble des enseignants français pour leur expliquer son action en leur faveur si elle est élue.

Dans ce courrier, la candidate multiplie les gages envers cette catégorie d’électeurs qui vote massivement à gauche, mais se montre tentée par François Bayrou. «Je vois partout des suppressions d’emploi, des fermetures de classes, cette action est mauvaise parce qu’elle fragilise la République», écrit Ségolène Royal.

«Si je suis élue, les moyens, les crédits, les emplois seront rétablis», assure-t-elle, promettant la suppression des décrets Robien. Dans sa lettre, elle affirme aux enseignants que «l’Etat garantira la reconnaissance de leur métier et leur rôle essentiel pour forger la Nation et construire le lien républicain». «Ce sera le premier travail auquel je m’attellerai pour la préparation de la rentrée», promet-elle.

Liberté d’expérimenter des méthodes pédagogiques

Pour la candidate socialiste, «il est temps d’en finir avec cette méthode qui empile les réformes l’une après l’autre» et dont «les enseignants sont fatigués». «L’école a besoin que tous et notamment les parents assument leurs responsabilités. Les enfants bien éduqués sont dans de bonnes dispositions pour réussir à l’école», souligne-t-elle.

Parmi les mesures annoncées par la candidate socialiste, le droit, pour les enseignants, «d’expérimenter en liberté des méthodes pédagogiques» et un plafonnement à 700 élèves par collège. D’autres mesures étaient déjà annoncées dans son «pacte présidentiel», comme l’introduction du nouveau métier de «répétiteur».

« REDONNER LES MOYENS À L’ÉCOLE »

Créé par le 20 mar 2007 | Dans : Battre campagne, Education, Ségolène Royal

 Dans Le Monde : Extraits http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-885725@51-885126,0.html

 « Ce décret sera retiré. (…) Les enseignants en ont assez d’être accablés par une succession de réformes auxquelles les ministres veulent attacher leur nom », a déclaré de son côté la candidate socialiste sur M6. « L’école a besoin qu’on lui redonne les moyens qui ont été retirés par l’UMP et l’UDF », a ajouté Ségolène Royal, s’engageant à le faire dès la rentrée de septembre 2007, notamment en annulant la suppression de 5 000 postes. Elle a aussi promis de ne plus faire de « réformes inutiles qui déstabilisent » l’école.« C’est la parole d’un chef de l’Etat qui affirme la reconnaissance du métier d’enseignant et qui donne aux établissements scolaires de la souplesse », a-t-elle dit.

Lors d’un point de presse, Jack Lang, conseiller spécial de la candidate, a déclaré que les socialistes étaient « solidaires du mouvement des professeurs qui se battent pour leur dignité ». Cet ancien ministre de l’éducation nationale a accusé le gouvernement d’avoir provoqué « une hémorragie budgétaire » dans l’éducation depuis cinq ans et supprimé « 120 000 postes et emplois ». Il a rappelé que Ségolène Royal envisageait « une loi de programmation » pour prévoir « dans les cinq ans, la création d’emplois » dans le secteur de l’éducation. M. Lang s’est étonné par ailleurs des critiques venues du camp UMP sur le décret du ministre de l’éducation nationale, ajoutant que la campagne de la droite « manquait de sérieux, d’honnêteté et de rigueur intellectuelle ».

Ségolène Royal écrit aux profs

Créé par le 20 mar 2007 | Dans : Battre campagne, Education, Ségolène Royal

PANTIN (AFP) – Ségolène royal a indiqué mardi 20 mars avoir adressé une lettre à l’ensemble des enseignants du pays leur affirmant que « l’Etat garantira la reconnaissance de leur métier et leur rôle essentiel pour forger la Nation et construire le lien républicain ».

Education: nouvelle grève dans les collèges et les lycées, mardi

Créé par le 19 mar 2007 | Dans : Education

Les enseignants ne décolèrent pas contre la politique éducative du gouvernement et veulent faire entendre leur voix auprès des candidats à la présidentielle. Plusieurs syndicats appellent les personnels des collèges et des lycées à cesser le travail et à manifester, mardi dans toute la France, alors que des opérations de boycott du bac blanc menées localement inquiètent lycéens et parents d’élèves.

Le décret permettant d’affecter des enseignants sur plusieurs établissements et plusieurs matières et allongeant leur temps de travail via la remise en cause de certaines heures de décharge, est la principale mesure dans la ligne de mire des syndicats du second degré.

Les syndicats dénoncent également les plus de 5.000 suppressions de postes prévues dans l’Education à la rentrée 2007.

Le Syndicat national des enseignements de second degré (SNES, premier syndicat des enseignants des collèges et des lycées) parle d’exaspération des personnels et craint une radicalisation sur le terrain, avec la tentation pour certains de perturber l’organisation du baccalauréat en juin.

Outre le SNES et plusieurs autres organisations de la FSU, la CGT-Education et le Syndicat national autonome des lycées et collèges (SNALC, classé à droite) ont relayé le mot d’ordre de grève et de manifestations pour la journée de mardi.

Des défilés et des rassemblements sont attendus à Lille, Brest, Quimper, Saint-Etienne, Amiens, Toulouse, Marseille, Lyon ou encore Paris. Dans la capitale, le cortège partira à 11h de la place Denfert-Rochereau en direction du ministère de l’Education.

« Nous exigeons l’abrogation du décret, l’ouverture de discussions sur la charge des enseignants et le rétablissement des postes. Et sur ces trois points, nous attendons des prises de position claires des différents candidats à la présidentielle qui, pour l’heure, ne nous apportent que des réponses partielles », a déclaré, lundi à l’Associated Press, Bernard Boisseau, secrétaire général du SNES.

Présenté en octobre dernier et paru depuis, le décret, rejeté par l’ensemble des syndicats de l’Education, fait l’objet d’une mobilisation locale constante depuis cinq mois et une grève nationale à l’appel des principales organisations syndicales du second degré contre ce texte a été fortement suivie le 18 décembre dernier.

Parmi les actions menées par certains enseignants, le boycott de l’organisation du bac blanc fait grincer les dents de lycéens et parents d’élèves.

« Il n’y a pas un mot d’ordre spécifique d’ajournement ou de boycott du bac blanc. On a préconisé des actions de tous ordres entre les journées d’action nationales, dès le mois de novembre. A chaque établissement son action contre le décret De Robien », assure M. Boisseau qui ajoute: « il se trouve que l’annulation, ou le report, des bacs et des BTS blancs a été retenue dans un certain nombre de cas ». Selon lui, un établissement sur cinq serait actuellement touché par ce type d’action.

« La consigne qu’on donne aux enseignants qui veulent s’engager là-dedans, c’est de le faire après avoir eu des discussions avec les parents et les lycéens. On est absolument convaincus qu’on ne peut mener des actions efficaces que si elles sont suivies par une majorité des personnels et appuyées par l’opinion, les élèves, les parents », explique le secrétaire général du SNES.

Mais il estime que « si les choses ne se débloquent pas, on risque d’avoir des problèmes à l’approche du bac », laissant entendre que des enseignants pourraient vouloir perturber l’organisation des examens.

« Comme en 2003 lors du mouvement contre la réforme des retraites, on risque d’avoir une frange de la profession qui va dire ‘puisqu’on a épuisé toutes les formes d’action sans être entendus, passons à des choses plus radicales ». Bernard Boisseau estime que « c’est un terrain très dangereux. On le dit aux enseignants, mais on dit aussi aux politiques de ne pas jeter d’huile sur le feu ».

Et il prévient: « en 2003, on s’est prononcé contre le boycott du bac et on a été suivis par une grande majorité des enseignants. On reprendra position de la même manière le cas échéant ». AP

 

Recherche et enseignement supérieur: Royal pour une « mobilisation nationale »

Créé par le 17 fév 2007 | Dans : Battre campagne, Education, Projet politique, Ségolène Royal

 La candidate socialiste à l’Elysée, Ségolène Royal, a détaillé vendredi à Strasbourg les mesures de son plan de mobilisation nationale pour la recherche et l’enseignement supérieur, dont une allocation d’autonomie pour étudiants et une revalorisation des crédits à la recherche.

Ségolène Royal, qui a réitéré sa promesse d’augmenter les crédits à la recherche et à l’enseignement supérieur de 10% par an pendant cinq ans, a notamment annoncé la mise en place d’un « nouveau système de prêts » et d’une « allocation d’autonomie » pour les étudiants.

Cette allocation serait accordée « sous condition de ressources à tous les étudiants qui acceptent de participer au soutien scolaire des jeunes en difficulté », a souligné Mme Royal, devant quelque 200 jeunes chercheurs.

Mme Royal a également plaidé pour une « revalorisation des allocations de recherche », sans évoquer de chiffre, ainsi que pour une pleine reconnaissance du doctorat dans le monde du travail.

Estimant que les débouchés pour les chercheurs sont insuffisants dans le secteur public comme dans le secteur privé, Mme Royal a ainsi estimé que « le crédit impôt recherche (aux entreprises) pourrait être en partie conditionné à l’embauche de docteurs ».

Au plan européen, Mme Royal a promis de « demander à l’Union européenne que les dépenses publiques de Recherche et Développement ne soient plus inclues dans les critères du pacte de stabilité », qui limite à 3% du PIB le déficit public autorisé des pays de la zone euro. Lire la suite de l’article dans « 20 minutes »

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