Sondages
Articles archivés
Articles archivés
Créé par sr07 le 10 nov 2008 | Dans : Parti socialiste, Sondages
Ségolène Royal est en hausse à 40% d’opinions favorables (+7) dans le baromètre mensuel Ipsos-Le Point diffusé lundi, tandis que Bertrand Delanoë perd 5 points à 58% mais reste, selon cette étude, la personnalité PS préférée des Français.
L’ex-candidate à la présidentielle, dont la motion a distancé celle du maire de Paris en vue du congrès du PS ce week-end, progresse de 12 points auprès des sympathisants UMP et de 4 points auprès des sympathisants socialistes.
Mme Royal pâtit toutefois de 55% d’opinions négatives (-8), contre 29% (+2) à M. Delanoë.
La maire de Lille Martine Aubry, également rivale de Mme Royal en vue du congrès, obtient 45% d’opinions favorables (+3) contre 41% d’avis défavorables (-4).
M. Delanoë, socialiste le mieux classé par l’ensemble des personnes interrogées, est aussi le préféré de celles se réclamant du PS, avec 72% de bonnes opinions (-6), contre 64% (+4) à Mme Royal.
Sondage réalisé par téléphone les 7 et 8 novembre auprès de 943 personnes représentatives de la population française majeure (méthode des quotas). Notice détaillée disponible auprès de la Commission nationale des sondages.
Créé par sr07 le 08 nov 2008 | Dans : Parti socialiste, Sondages
Ségolène Royal est la personnalité de gauche préférée des sympathisants PS et de gauche pour être « leader de la gauche face à Nicolas Sarkozy« , devant Bertrand Delanoë, Dominique Strauss-Kahn et Martine Aubry, selon un sondage Ifop à paraître dans le Journal du Dimanche.
Selon le sondage, 26% des sympathisants PS et 23% des sympathisants de gauche souhaitent que l’ex-candidate socialiste à la présidentielle mène la gauche face au chef de l’Etat.
Derrière, arrivent à égalité Dominique Strauss-Kahn et Bertrand Delanoë (21% des sympathisants socialistes, et respectivement 18 et 19% des sympathisants de gauche).
Martine Aubry obtient 11% aussi bien chez les sympathisants socialistes que de gauche, derrière Olivier Besancenot (12% chez les sympathisants socialistes, 20% chez les militants de gauche). Benoît Hamon recueille 6% dans les deux échantillons.
Sur l’ensemble des Français, Dominique Strauss-Kahn arrive en tête (27%) devant Bertrand Delanoë (21%), Ségolène Royal (17%), Olivier Besancenot (13%), Martine Aubry (9%) et Benoît Hamon (6%).
Le sondage a été réalisé les 7 et 8 novembre, par téléphone, sur un échantillon de 959 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Notice détaillée disponible auprès de la commission nationale des sondages.
Créé par sr07 le 05 jan 2008 | Dans : Sondages
F.TA.
QUOTIDIEN LIBERATION : samedi 5 janvier 2008
L’année 2008 est à peine entamée que les commémorations de Mai 68 commencent. L’Express, en partenariat avec la Fondation pour l’innovation politique, publie cette semaine un sondage baptisé «Les jeunesses face à leur avenir», réalisé auprès de 20 000 jeunes (16-29 ans) vivant en Europe, Asie ou Amérique du Nord. Le moral des jeunes Français n’est pas extraordinaire. Quelques chiffres en témoignent : seuls 39 % d’entre eux pensent que les gens peuvent changer la société, contre 63 % des jeunes Américains et 50 % des Allemands. A la question «Votre avenir personnel est-il, prometteur ?», ils ne sont que 26 % à dire oui, contre 60 % des Danois, ou 54 % des Américains, encore une fois très optimistes. Ce sont toujours eux les plus positifs concernant l’espoir de décrocher un bon travail (60 %), alors que les jeunes Français ne sont que 27 %, juste devant les Polonais (25 %) et loin devant les Japonais, qui ne sont que 9 % à partager cet espoir. Logiquement, seuls 20 % de Français pensent que la mondialisation apporte des opportunités. L’étude peut être intégralement consultée sur www.fondapol.org.
Créé par sr07 le 19 nov 2007 | Dans : Sondages
OPINION . Selon le sondage CSA pour l’Humanité, les salariés de la fonction publique qui, eux aussi, seront mobilisés demain recueillent la sympathie d’une majorité de Français.
Alors que la grève à la SNCF et à la RATP entre dans son sixième jour, la journée de mobilisation de la fonction publique, qui sera marquée demain par des arrêts de travail et des manifestations dans toute la France, recueille sympathie et soutien de la part de la majorité des Français. C’est ce que révèle notre sondage CSA pour l’Humanité. 53 % des sondés se déclarent en phase avec le mouvement (33 % disent soutenir la journée d’action et 20 % ont de la sympathie). Seulement 29 % éprouvent de l’hostilité ou se déclarent opposés à cette journée dédiée à la lutte pour de meilleurs salaires, pour l’emploi et le service public.
Cette étude réalisée en plein conflit du rail indique un état de la société très différent de l’image renvoyée par la campagne des grands médias audiovisuels, qui réduirait la France à une opposition entre salariés grévistes et « usagers en galère ».
La journée d’action de demain est créditée d’un soutien sensiblement plus large que celle du 14 novembre sur les régimes spéciaux de retraite. Le précédent sondage CSA pour l’Humanité (1) faisait état d’un taux de soutien et de sympathie de 45 % face à un pourcentage d’hostilité ou d’opposition ne dépassant pas, néanmoins, 35 %. La première journée de mobilisation, celle du 18 octobre (2) avait reçu l’appui ou la sympathie de 54 % des sondés et rencontré l’hostilité de 26 %. On observera, en dépit de ces fluctuations, que jamais, dans les trois sondages consécutifs, réalisés à quelques semaines d’intervalle par l’institut CSA, le pourcentage des sondés hostiles ou opposés à ces mouvements ne s’est révélé majoritaire. Constatation qui ramène à de plus justes proportions les affirmations répétées à l’envi sur l’impopularité de la grève et l’isolement supposé des grévistes.
Le pouvoir d’achat – la première préoccupation actuelle des Français -, l’emploi et l’avenir des services publics sont des thèmes fédérateurs. La bonne opinion dont bénéficient les fonctionnaires et l’attachement des Français à des services publics qu’ils ressentent comme menacés participent de la popularité du mouvement. Les salariés sympathisent pour 59 % d’entre eux avec la grève des fonctionnaires. Ceux du secteur public, en premier lieu, avec un taux favorable de 73 %, mais aussi 54 % des salariés du secteur privé disent être aux côtés des travailleurs de la fonction publique. Ce sont les ouvriers (66 %) et les employés (63 %) qui manifestent le plus massivement leur solidarité. La suppression de quelque 22 000 postes de fonctionnaires au budget 2008, une carte judiciaire réduite comme peau de chagrin, la désertification des services publics dans des zones rurales, autant de sujets d’inquiétude qui concernent les citoyens et dépassent très largement les seuls fonctionnaires.
(1) Sondage exclusif CSA-l’Humanité réalisé les 7 et 8 novembre.
2) Sondage exclusif CSA-l’Humanité réalisé le 10 octobre.
Jean-Paul Piérot
Créé par sr07 le 02 juin 2007 | Dans : Elections, Sondages
PARIS (AFP) – Les candidats UMP et Nouveau centre recueilleraient 43,5% (=) des intentions de vote au premier tour des législatives et ceux du PS, PRG et MRC 29,5% (=), selon la 12e vague du baromètre quotidien Ipsos/Dell pour SFR et Le Point, publiée vendredi soir.
Comme Ipsos l’avait fait pour la présidentielle, le sondage sera actualisé chaque jour (excepté les dimanches), jusqu’au 8 juin, avant-veille du premier tour des législatives.
Les candidats du Mouvement démocrate de François Bayrou obtiendraient 7,5% (+0,5%), ceux du Front national 4,5% (-0,5), ceux des Verts 4% (+0,5), du PCF 3% et de l’extrême gauche 2,5%.
Les candidats Divers droite recueilleraient 1,5%, le MPF 1,5%, le MNR 0,5%, CPNT 0,5% et autres candidats 1,5%.
La droite parlementaire est créditée au total de 46,5%, la gauche parlementaire (PS, PRG, MRC et PCF) et les Verts de 36,5%.
16% des personnes certaines d’aller voter n’ont pas exprimé d’intention de vote.
Au second tour, en cas de duel gauche-droite, 56% (+0,5) des personnes interrogées choisiraient le candidat de l’UMP ou de la majorité présidentielle et 44% (-0,5) le candidat de la gauche (PS-PCF-Verts).
14% des personnes certaines d’aller voter n’ont pas exprimé d’intention de vote.
Sondage réalisé auprès de 1.224 personnes interrogées par téléphone les 30, 31 mai et 1er juin, constituant un échantillon national représentatif de la population inscrite sur les listes électorales (méthode des quotas). Notice détaillée disponible à la commission des sondages.
Ipsos-Dell rappelle que « les résultats des intentions de vote ne constituent pas un élément de prévision du résultat électoral mais donnent une indication significative du rapport de force actuel. Ils doivent être lus en tenant compte des marges d’incertitude: plus ou moins 3 points pour les principales forces politiques et 1 à 2 points pour les autres. » Notice détaillée disponible à la commission des sondages.